Les habitants de San Francisco sont divisés en trois groupes bien distincts : « Weakley Students », « Young Adult » et « The Big Crowd », chacun aillant sa spécificité qu'il lui est propre. Un petit aperçu peut être ?

1. « Weakley Studients. »

« La jeunesse est un défaut... Mais le défaut de l'âge, c'est de voir les défauts de la jeunesse. »

Coincés par obligation ou par envie – si, les élèves fous existent - sur les bancs de Weakley State University, ces jeunes-là fréquentent encore les cours pour s’assurer généralement leur avenir, bien que parfois il se soient retrouvés là parfaitement par hasard, et suivent les différentes matières que leurs propose la célèbre université Californienne. Généralement lieu de dérapages et de gue-guerres fidèles aux séries américaines, la cours de récréation de ces jeunes adultes a les mêmes fonctions que celles des enfants de 5 ans.

2. « Young Adult. »

« Devenir adulte, c'est reconnaître, sans trop souffrir, que le "Père Noël" n'existe pas. »

Ces habitants ne sont qu'autres des lycéens aillant décidé de ne pas aller pourrir sur les bancs d'une fac ou de l'université de San Francisco - par envie, encore une fois, par incertitudes ou bien par manque d'argent. Maîtres de leur vie, ils sont totalement indépendants des autres, s'auto-gèrent, et débutent tant bien que mal une carrière qui leur plaisent, ou bien enchainent des petits boulots sans vraiment se préoccuper de l'avenir. Après tout, ils sont jeunes et libres, pourquoi se faire chier avec l'avenir ?

3. « The Big Crowd. »

« La normalité est une expérience plus extrême que ce que les gens veulent l'admettre. »

Le reste des habitants - soit les plus de vingt-cinq ans (vous savez, ceux qui sont sortis de l'université et qui commencent une belle carrière, ou bien ces personnes qui réussissent tant bien que mal à faire vieillir l'age moyen de la ville) ou bien encore les plus jeunes pas encore en âge de fréquenter les universités, sont tous répartis dans un et même groupe. Ces personnes là ressortent un peu du décor, mais montrent par leur présence que SF reste une ville. A la base.

Californication, 2010.
Idée de Leyna D. Willis et
de Rafaël J. Williams
Contexte rédigé et mis en
page par Brooklyn R. Stone.
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